| Sujet: ALDO → LA BRIGADE DE LA SCHNEK Sam 19 Avr - 7:15 | |
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aldo boia le navire c'est l'homme Bonjourno bella ! Moi, c'est Aldo Boia. J'ai actuellement 22 ans, et ouais, le temps passe comme dirait l'autre. J'ai vu le jour, un certain trois novembre, à venise, italie, je suis donc italien. Actuellement je suis cuisinier dans un restaurant spécialisé dans les pâtes et cela me convient. Je suis célibataire depuis trois ans et je fais avec même si ce n'est pas facile tous les jours. D'ailleurs, je suis bisexuellement refoulé pour ceux que cela intéresse. Certaines personnes disent que je ressemble à sid ellisdon mais franchement je ne vois pas pourquoi... j'aime modérément le nutella et du coup je fais partie des gaufres. | aldo se nourrie essentiellement de pâtes ∆ il fume beaucoup trop ∆ il ne peux pas s'empêcher d'être vulgaire ∆ il adore sa mère plus que tout, même si c'est une putain d'alcoolique ∆ il préfère la nuit au jour ∆ il a la manie de tout le temps faire bouger ses orteils, c'est limite un toc ∆ il est totalement paniqué à l'idée de s'engager avec quelqu'un, il n'a pas eu de relation "sérieuse" depuis trois ans ∆ il adore manger, tout le temps et boire aussi ∆ il refuse de passer son permis de conduire et il se déplace uniquement en fixie ∆ il boit beaucoup de lait, presque moi d'eau |
when you look at me | prénom/pseudo : lucie/stay gold. - âge : 20. - région/pays : toulouse, france. - fréquence de connexion : fréquente. - où avez vous connu le forum? : facebook. - Un dernier truc a nous dire ? : love ya. | | - Code:
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<taken>► </taken><bt>Sid Ellisdon</bt> + aldo boia
Dernière édition par Aldo Boia le Sam 19 Avr - 9:34, édité 3 fois
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| Sujet: Re: ALDO → LA BRIGADE DE LA SCHNEK Sam 19 Avr - 7:15 | |
| les pâtes. toute la vie de ce pauvre aldo. à croire que t'es le croisement d'un paquet de pâtes et d'un bocal de sauce bolognaise. la honte quoi, vous imaginez le truc ? non sérieux. les pâtes, t'aimes ça depuis que t'es morphologiquement apte à les manger. tu peux en manger des tonnes, sans être malade ou encore écœuré. c'est comme le lait, t'en bois tout le temps. froid, évidemment. t'es un vrai gamin pour ça : de mauvaise humeur, si t'as pas eu ton verre matinal. cuite ou pas cuite la veille. après, oui t'as d'autres passions dans la vie, comme la cigarette. tu crains, tu le sais, même tu continues à cloper comme un porc. comme si c'était la dernière que tu pouvais fumer. c'est n'importe quoi, c'est entièrement toi ça. tu crames ton fric dans les clopes et dans ton fixie, que t'as fait toi même bien évidemment. tout ça parce que tu refuses de te mettre à la voiture. tu penses qu'il faut pas polluer l'île, qu'elle est trop petite pour se déplacer en voiture. mais tu crois pas que ta clope pollue elle ? crétin. t'es assez paradoxal comme type en fait. t'es limite incompréhensible, ça peut paraître chiant des fois. aldo viene qui, je crois que je vais mourir. c'est une phrase que t'as entendu tellement souvent en fait, et dieu sait combien de fois tu t'es précipité pour l'aider. depuis que t'as déménagé de venise avec ta mère, elle boit encore plus qu'avant. ça te gave mais c'est ta mère, tu l'adores, tu sais qu'au fond, c'est une perle. elle se pourrie la santé et toi t'es impuissant. t'as déjà essayé de l'envoyer dans une sorte de groupe de paroles mais elle l'a mal pris et elle a décidé de plus d'adresser la parole. donc t'as arrêté d'essayer de la soigner. tu sais pourquoi elle boit pourtant mais tu peux rien y faire. toi aussi t'es triste au fond. toi aussi t'aimerais que ton paternel soit encore là et pas sur tu n'sais quelle île des tropiques avec tu n'sais quelle poule. c'est aussi un peu pour ça que t'as pas beaucoup de respect pour les filles avec qui tu couches. tu les tringles et après tu les jettes. impossible de t'attacher. la relation de tes parents, le semblant de relation que tu as eu il y a trois ans, ça t'as blessé à vie, t'en es conscient. et pour l'instant, t'es pas prêt à faire d'efforts. alors maintenant, toi, aldo, t'es distant avec les gens et t'arrives pas à leur faire confiance. tu repenses sans cesse à celle qui t'as brisé le cœur : lietta, avec sa crinière dorée et ses yeux océan. là tu diras pas que t'étais pas ensorcelé. t'étais carrément accro même. elle était plus addictive que la cigarette, elle t'a consommé petit à petit pour au final, te jeter à terre comme on fait lorsqu'on fume une cigarette. au début c'était beau. vous faisiez des balades autour de l'île en vélo ou encore main dans la main. elle te regardait avec un de ces regards fascinés, ça te faisait battre le cœur. ça te faisait te sentir vivant. tu t'accrochais petit à petit, tu osais ouvrir ton cœur. ta mère aussi l'aimait bien bizarrement. elle était parfaite pour toi, et remplie de défauts aussi. elle aimait savoir qu'elle était libre de faire ce qu'elle voulait et elle en profitait trop souvent pour aller voir ailleurs. aldo, trop dupe, trop hypnotisé par le bleu de ses yeux, tu n'y voyais que du feu. tu continuais à la choyer, à l'aduler, à l'aimer de tout ton être. jusqu'au jour fatidique. le jour où une partie de toi s'est éteinte, à jamais, dis-tu. tu rentres à l'avance d'une grosse journée de boulot. ta mère est affalée dans le canapé, ivre morte, encore une fois. tu embrasses son front. des bruits rompent le lourd silence. lietta ? tu t'interroges. elle n'était pas censé être là, du moins elle ne t'avait pas prévenu. tu regardes ta mère, cherchant une réponse. mais elle ne comprend rien à ce que tu lui veux. tu soupires. les bruits se sont plus fort au fur et à mesure que tu te rapproches de ta chambre. tu reconnais ces bruits, tu déglutis. tes mains se mettent à trembler. tu pries pour que ça ne soit pas ce que tu penses. tu pousses la porte et là t'as envie d'hurler, de toutes tes forces, de faire sauter les carreaux. t'es pétrifié devant ta petite amie, ta lietta qui se fait ramoner dans ton propre lit. t'aimerais bouger, mais tu n'y arrives pas, tes mains tremblent, tu vas imploser. ils ne t'ont même pas entendu, trop occupé à jouir mutuellement. le gars te voit enfin. c'est instinctif, il se retire de ta belle et cache son sexe, se rhabillant avec hâte et prend le large. lietta pose enfin les yeux sur toi, elle devient encore plus pâle qu'elle n'est déjà. elle déglutie, tu l'attends limite jusque là. t'es envie de lui sauter dessus, de la rouer de coups. t'avances d'un pas, elle recule, se cache d'un drap. - écoute bébé, je peux t'expliquer ...tu secoues la tête. non non non. te fous pas de moi lietta, fais pas ça. tu te répètes ça dans ta tête pendant qu'elle te sort une excuse bidon. - je t'aime aldo, tu le sais. c'est juste que j'ai droit à ma liberté. je te jure, j'aime pas ce type. y'a que toi dans mon cœur, c'est le plus important non ? les autres, c'est rien du tout.- les autres ? LES AUTRES ?! parce que c'est pas le seul ?elle secoue la tête, baisse les yeux. - oh putain lietta mais qu'est-ce que t'as fait ? qu'est-ce que t'as fait putain ? tu me dégouttes. putain je vais vomir. regarde-toi, regarde ce que t'as fait.ton ton est sec, c'est comme si t'allais vomir. elle te dégoutte, t'as honte de lui avoir fait l'amour, de l'avoir aimé, de t'être projeté avec elle. - rhabille-toi putain, rhabille toi ! tu te plains de ta mère mais t'es comme elle, t'es qu'une trainée lietta. tu mérites rien, tu mérites pas tout ce qu'on a vécu. putain mais j'suis trop con, j'suis vraiment trop con. t'es vraiment de la merde lietta. moi qui croyais que t'étais différente. mon cul oui, t'es comme tout le monde. dégage de chez moi maintenant. DÉGAGE !tu finis par hurler, limite si tu lui vomis pas dessus. t'as envie de l'attraper par les cheveux, de lui exploser la gueule. et elle, tout ce qu'elle trouve à faire c'est de t'aboyer dessus à son tour. - ta gueule aldo ! TA GUEULE ! tu vois même pas que ça allait pas entre nous ! trop obnubilé par je n'sais quoi ! c'est toi la merde aldo, c'est toi qui t'ai fait baisé aldo. j'ai plus rien à te dire, j'ai pas de compte à te rendre ! je t'aime pas aldo, je t'ai jamais aimé. j'ai profité de toi, tout simplement. t'es trop con aldo, tous ces cadeaux, c'est juste pour ça que je restais ! ahah, maintenant que tu sais, je me sens libérée d'un immense poids, tu peux même pas imaginer !elle ose te regarder dans les yeux en te disant ça, tout en se rhabillant. mais comment elle peut oser te dire ça ? elle t'enterre, mots après mots. là t'es six pieds sous terre, tu ne bouges plus, t'es vide à l'intérieur. autant qu'elle te plante dix milles fois un couteau dans le poitrail, ça fera le même effet.
Dernière édition par Aldo Boia le Sam 19 Avr - 11:01, édité 4 fois |
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| Sujet: Re: ALDO → LA BRIGADE DE LA SCHNEK Sam 19 Avr - 8:32 | |
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| Sujet: Re: ALDO → LA BRIGADE DE LA SCHNEK Sam 19 Avr - 9:46 | |
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| Sujet: Re: ALDO → LA BRIGADE DE LA SCHNEK Sam 19 Avr - 9:48 | |
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| Sujet: Re: ALDO → LA BRIGADE DE LA SCHNEK Sam 19 Avr - 11:18 | |
| Je signe. J'ai rien d'autres à dire. Je signe, direct. Et les tigres sont au top du top.
T'es validé, je te met ta couleur de suite !
Tu es validé(e) bienvenue parmi nous petit fou! ça y est! tu as enfin passé l'épreuve redoutable de la validation: bravo! bienvenue parmi nous! maintenant, tu vas être réparti(e) dans ton groupe et tu vas pouvoir poster dans le reste du forum! n'oublies pas de vérifier que ton avatar a bien été ajouté au bottin, car nous ne sommes pas à l'abri d'un oubli..! en suite, tu peux venir créer ton ou tes scénario ou tes liens recherchés pour agrandir ton cercle d'ami! tu peux aussi venir créer ta fiche de liens et de rp pour qu'on puisse tous se trouver des liens de fifous ! et tu peux évidemment flooder, jouer.! bon jeu et si tu as la moindre question, le staff est là pou rtoi
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