| Sujet: Sandro - Overdose de douceur. Pyromane de ton cœur. Canadair de tes frayeurs. Sam 19 Avr - 7:07 | |
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Alessandro Fernando Salinas-Delavega when you look at me Bonjourno bella ! Moi, c'est Sandro Delavega. J'ai actuellement 26 ans, et ouais, le temps passe comme dirait l'autre. J'ai vu le jour, un certain 12/03/1988, à Venise, je suis donc Italien. Actuellement je suis musicien/chanteur amateur et maître nageur sauveteur et cela me convient - ou pas -. Je suis en couple depuis peu de temps et je fais avec même si ce n'est pas facile tous les jours. D'ailleurs, je suis hétéro pour ceux que cela intéresse. Certaines personnes disent que je ressemble à Tobias Sorensen mais franchement je ne vois pas pourquoi... J'aime un peu le nutella et du coup je fais partie des les gaufres. | il vient d'une famille très fortunée de Venise, son véritable nom est d'ailleurs Salinas-Delavega ∆ il joue de la guitare et chante dans un groupe amateur ∆ il préfère le salé au sucré ∆ il est en couple avec Natalia uniquement pour rendre jalouse Caroline ∆ il n’aime pas le café ∆ il n’a jamais touché au tabac ou à la drogue ∆ il a eu un accident de moto étant jeune ∆ il aime bien lire ∆ il chante sous la douche ∆ c’est un excellent nageur ∆ il faisait parti de l’équipe de lutte de son lycée ∆ il a fait de la boxe ∆ il aime bien le poisson ∆ il pourrait manger des tonnes et des tonnes de riz ∆ c’est pareil pour les nouilles chinoises ∆ il a une véritable phobie des serpents ∆ il ferait tout pour sa petite sœur, Maria ∆ il fut un temps, les femmes étaient des jouets pour lui ∆ il ne supporte pas la poussière ∆ il a essayer d’être végétarien mais ne parvient pas à se priver d’un bon steak ∆ il n’a jamais été très télé ∆ il se plait à croire que les esprits, les extraterrestres et tout ça, ça existe ∆ il n’aime pas sa tête quant ses cheveux sont trop courts et qu’il est rasé ∆ quant il dort, il dort ! même l’explosion d’une bombe devant sa porte ne serait pas capable de le réveiller ∆ il a horreur des sucreries gout coca ∆ il est gentil parfois ∆ il déteste la sensation que procure la faim ∆ il adore les cookies ∆ il est rarement à l'heure ∆ il raffole de lasagne et de lapin ∆ il n'a pas de voiture et se déplace uniquement en moto habituellement ∆ il déteste les comédies musicales ∆ il est toujours très bien habillé ∆ il n'aime pas porter de cravate. ∆ il fait fréquemment des dons à des associations caritatives |
when you look at me | prénom/pseudo : P.I.M.P. - âge : 20 ans. - région/pays : Lorraine. - fréquence de connexion : écrire ici. - où avez vous connu le forum? : Facebook - Un dernier truc a nous dire ? : Est-ce qu'on peux me réserver Tobias? | | - Code:
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<taken>► </taken><bt>Tobias Sorensen</bt> + Sandro Delavega
Dernière édition par Sandro Delavega le Dim 20 Avr - 7:05, édité 7 fois
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| Sujet: Re: Sandro - Overdose de douceur. Pyromane de ton cœur. Canadair de tes frayeurs. Sam 19 Avr - 7:07 | |
| Vous êtes Mr Alessandro Fernando Salinas-Delavega ? Je grimace à l’entente de mon nom mais me lève néanmoins, hochant la tête en signe d’approbation et suit le médecin qui me fait signe de le suivre. Je ne ais pas trop bien ce que je fais ici, dans cet hôpital. Tout va bien pour moi. C’est juste que j’ai sauvé la fille de cette fille. J’ai sauvé la vie de cette fille, et elle veut me voir. Je sais pas trop comment je dois réagir. Je ne la connais pas. J’ai juste fais ce qu’il y a faire. Après tout, c’est mon boulot de sauver les gens. Je n’allais pas la laisser crever sous mes yeux. C’est mon boulot. Je sais pas trop d’où l’idée de devenir maître nageur/sauveteur m’est venue, mais j’ai toujours adoré l’eau. En fait, je pourrais passer des heures à barboter dans une baignoire. Alors, simplement, j’en ai fait mon métier… Je trouve ça plutôt sympa de se rendre utile de la sorte. Et puis à côté, je vis aussi de ma passion première, la musique. C’est l’essentiel. Je me suis toujours dis que je dirigerais ma vie tel que je le voudrais. Et c’est le cas. Le médecin ouvre la porte d’une chambre et sans vraiment savoir à quoi m’attendre je pénètre dans la pièce, me retrouvant fasse à une demoiselle alitée. La vision qui s’offre à moi est pénible. Horrible. Je reconnais à peine la fille que j’ai vu se noyer sous mes yeux. Ses yeux sont ouverts et me fixent. Un appareil lui permet de respirer. Sans même l’avoir connu avant, j’ai l’impression qu’elle a perdu pas mal de poids. Je suis attristé, en colère, de la voir dans cet état. « Caroline, voilà votre sauveur, Alessandro. » annonce le médecin en me désignant d’un signe de tête. Il se tourne vers moi. « Vous pouvez vous approcher. » Ok, mais je suis terrifié. Je fais quelques pas, me stoppe à la gauche du lit. Les yeux de Caroline me fixent toujours. « Salut… » C’est nul. Je ne sais pas quoi dire d’autre. C’est trop inhabituel. Trop perturbant. « La moelle épinière de Caroline a été écrasé. Elle ne peut par conséquent bouger aucun de ses membres. A vrai dire tout ce qui se trouve en-dessous de son cou est figé. Mais nous pensons que c’est temporaire… » Je n’ose même pas imaginer ce qu’elle doit subir. Se retrouver priver de sa mobilité d’un jour à l’autre. Devoir dépendre des autres… J’ai de la peine pour elle. « Mais Caroline a malheureusement attrapé une pneumonie, c’est pour ça qu’elle est sous respirateur artificiel, nous ne pourrons pas l’opérer tant qu’elle n’ira pas mieux. » J’hoche la tête, parce que je ne sais toujours pas quoi dire, et que je ne sais toujours pas quoi faire. « Caroline, comprend parfaitement ce qu’il lui arrive et entend tout ce qu’on dit » continue le médecin. Je me rends alors compte à quel point sa situation doit être horrible. Prise au piège par son propre corps. J’observe la jeune femme et le médecin se retire nous laissant seul dans la pièce. Hésitant je m’assois sur la chaise à côté de son lit et lui prend la main. Elle ne doit sans doute pas le sentir. Je touche ses doigts froids, et c’est bizarre de se saisir de la main de quelqu’un ainsi sans avoir de réaction. Je reste là, muet. Incapable de prononcer le moindre mot. « Je suis allé parler au médecin. Ta pneumonie est presque guérie, ils vont ans doute pas tarder à t’enlever ce tube et ils vont pouvoir t’opérer. » Je lance ne souriant. Je m’assois à côté de lit. « Ta mère devrait passer te voir dans la soirée… » Je bois une gorgée du gobelet d’eau que je suis allé me chercher. « De quoi tu veux qu’on parle aujourd’hui ? » Une semaine s’est écoulée depuis la première fois ou j’ai franchi cette porte. L’état de Caroline ne s’est pas amélioré. Comme elle ne peut pas parler, on a mis au point un moyen de communication un peu spécial. Un clignement d’œil veut dire oui, et deux veulent dire non. Parfois, c’est compliqué de se comprendre, mais c’est déjà mieux que rien. « De musique ? » Elle cligne deux fois les yeux. D’accord. On ne parle pas de musique. Je commence à lui énumérer plusieurs choses qui me passent par la tête. Mais bizarrement aucun sujet de conversation ne lui convient. Comme je vois son regard me percer à vif, je me sens un peu gêné, mais je crois deviner le sujet qu’elle aimerait aborder. « Tu veux qu’on parle de moi ? » Elle ferme les yeux. Une seule fois. Je laisse échapper un soupire. « C’est vrai qu’on ne connait quasiment rien l’un de l’autre… Alors, je vais te raconter des trucs sur moi, mais à une seule condition… » Elle me fixe sans relâche. « Tu me promets que quant tu seras sortie d’ici tu garderas le secret ? » Elle approuve et je crois deviner une pointe d’amusement sur son visage. Je souris et lui prend la main, m’amusant à jouer avec ses doigts insensibles. « En vrai, je m’appelle pas Sandro, mais Alessandro… J’ai 26 ans, et en plus d’être maître nageur-sauveteur je fais de la musique. Mais parents sont très fortunés… Du genre à être blindé de tunes tu vois. J’ai grandis dans le luxe. Mais je me prive bien de le raconter à tout le monde. Parce que les gens qui m’approche juste pour profiter de moi j’en veux pas. D’ailleurs pour être encore plus honnête avec toi, en vrai… je m’appelle Alessandro Fernando Reinaldo Salinas-Delavega, tu vois le genre de nom à rallonge purement cliché que t’es censé voir dans les magasines people. » Je souris à ma propre remarque. Je crois même deviner la même chose sur le visage presque figé de Caroline. « J’ai une petite sœur, Maria. Et un frère…Tu sais c’est pas toujours tout rose, comme dans toute les fratries, mais je les aimes beaucoup. Et je pense bien que je serais prêt à tout pour eux. » Trois semaines se sont écoulées depuis que j’ai sauvé la vie à Caroline. Elle est toujours sous assistante-respiratoire et ne peut pas parler. Mais sa pneumonie est guérie, et d’après les médecins, demain elle sera débarrassée de cet engin et lundi ils pourront l’opérer afin de tenter de décompresser la partie de la moelle épinière qui est endommager et peut-être qu’elle retrouvera sa mobilité. « C’est le dernier jour ou je peux te dire tout ce que je veux sans que tu me coupe la parole, que tu me réponde ou que tu te moques de moi… Je vais en profiter ! » Je laisse échapper un petit rire. Je me demande comment j’arrive à rigoler alors que même si je ne la connais que depuis d’un moins et que je ne connais rien de sa vie, je remarque le changement flagrant sur son physique. Caroline n’était déjà pas bien épaisse, mais elle a perdu du poids, ses joues sont creuses. Son regard est triste, ses yeux cernés. J’ai même l’impression que ses cheveux sont moins éclatants que d’habitude. « J’ai sauvé une gamine de la noyade ce matin… Même pas deux ans, elle est tombée dans la piscine, pendant que sa mère était occupée à chauffer un de mes collègues... Sinon, rien de neuf depuis hier. » Je passe ma main dans mes cheveux. « Ah si… Ma mère insiste pour que je lui présente ma copine. Tu vois, elle imagine la femme parfaite, polie, souriante, gentille, riche… Le problème, c’est que j’ai personne à lui présenter. Je pense pas me caser un jour. La seule fois ou je suis tombé amoureux, je devais avoir 12 ans et c’est en regardant Natalia Portman dans Star Wars ! » C’est vrai. Il n’y a jamais eu de filles spéciales. Il y en a certaines que je trouve jolie, mais ça se limite à ça. Elles sont toutes vides et dénuées d’intelligence, bonne qu’à baiser et à se tartiner du fond de teint sur la gueule. C’est peut-être bizarre à penser, mais je crois que le jour ou je tomberais amoureux, ça sera d’une femme capable d’aligner deux phrases intelligentes sans faire de fautes. Je ne veux pas seulement tomber amoureux d’un physique, je veux apprécier tout le reste. C’est ça le problème. Mais franchement… Être seul, ce n’est vraiment pas plus mal. Sauter une femme différente à chaque fois, c’est vraiment le pied. T’as le côté positif de la baise sans avoir à te préoccuper d’elle le reste du temps. Et pour le moment, c’est ce qui me convient le mieux. Je regarde Caroline et l’espace d’un moment, je me demande si elle a un copain. Je n’ai vu personne d’autre que sa famille venir lui rendre visite. Est-ce qu’elle a déjà été amoureuse ? Est-ce qu’elle sait ce qu’on ressent quant on aime quelqu’un ? Moi, j’aimerais bien savoir. Je chasse cette pensée de mon esprit et décide de passer à tout autre chose, me livrant un peu plus à elle. « Je te l’ai jamais dis mais… Tu vois cette cicatrice sur ma tronche ? J’ai eu un accident de moto… Je devais avoir 16 ou 17 ans… Mes parents étaient furieux. Moi j’avais qu’une envie, s’était de recommencer… » Une nouvelle fois, je souris. Je ne sais pas trop pourquoi ma main à glisser sur sa cuisse. Je ne sais pas pourquoi mon visage s’est rapproché sur sien. Je ne ais pas pourquoi mes lèvres se sont emparées des siennes. Je sais juste que j’en avais très envie. Un peu comme un rêve que tu as envie de voir se réaliser depuis toujours. T’es incapable de freiner tes pulsions et c’est ce que j’ai fais. Caroline était assise sur la table du kiné à attendre qu’il vienne s’occuper d’elle. Et c’est ce que j’ai fait. Je l’ai embrassé. Je sais pas c’est peut-être tout ce temps que j’ai passé avec elle à tenter de lui donner le sourire, à m’occuper d’elle, à lui parler. J’en sais rien. Je sais juste que j’en mourrais d’envie. Pas Caro. Caroline, elle s’est braquée. Elle m’a repoussé et elle m’a demandé se sortir. Je ne pensais pas que ça me toucherais autant. Je ne pensais pas que j’allais être si blesser. Vraiment… Je parle encore à Caroline… On a plus reparlé de cette « accident » chez le kiné. Mais, moi j’y pense tout le temps. Je me demande pourquoi elle ne veut pas de moi et en même temps… J’ai un peur de lui demander. Peur qu’elle me repousse encore. Je sens que c’est tendu entre nous. Je me suis attaché à elle mine de rien, et je veux pas briser tout ça… Alors faute de pouvoir lui dire clairement ce que je veux et ce que je ressens. J’ai décidé d’agir différemment. C’est un peu gamin… Mais je me suis mis en couple avec Natalia. Il faut dire que ça tomber bien, Nata avait besoin de quelqu’un pour rendre jaloux Fabio. Et moi, il faut que j’ouvre les yeux à Caro…
Dernière édition par Sandro Delavega le Dim 20 Avr - 7:03, édité 2 fois |
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| Sujet: Re: Sandro - Overdose de douceur. Pyromane de ton cœur. Canadair de tes frayeurs. Sam 19 Avr - 9:50 | |
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| Sujet: Re: Sandro - Overdose de douceur. Pyromane de ton cœur. Canadair de tes frayeurs. Sam 19 Avr - 20:13 | |
| Je trouve que Nata s'est pas trop épilé ces derniers temps en tout cas, ce mec est sexy je veux un lien ! bienvenue ici ma petite fourmis en sucre si tu as besoin d'un truc, on est là |
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| Sujet: Re: Sandro - Overdose de douceur. Pyromane de ton cœur. Canadair de tes frayeurs. Sam 19 Avr - 21:50 | |
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| Sujet: Re: Sandro - Overdose de douceur. Pyromane de ton cœur. Canadair de tes frayeurs. Sam 19 Avr - 23:48 | |
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| Sujet: Re: Sandro - Overdose de douceur. Pyromane de ton cœur. Canadair de tes frayeurs. Dim 20 Avr - 1:30 | |
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| Sujet: Re: Sandro - Overdose de douceur. Pyromane de ton cœur. Canadair de tes frayeurs. Dim 20 Avr - 3:34 | |
| Merci les filles. Cérisa c'est un couple arranger |
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| Sujet: Re: Sandro - Overdose de douceur. Pyromane de ton cœur. Canadair de tes frayeurs. Dim 20 Avr - 3:50 | |
| bienvenue bg |
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| Sujet: Re: Sandro - Overdose de douceur. Pyromane de ton cœur. Canadair de tes frayeurs. Dim 20 Avr - 3:55 | |
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| Sujet: Re: Sandro - Overdose de douceur. Pyromane de ton cœur. Canadair de tes frayeurs. Dim 20 Avr - 3:57 | |
| n'est-ce pas on aura un petit lien tous les deux, je te le dis |
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| Sujet: Re: Sandro - Overdose de douceur. Pyromane de ton cœur. Canadair de tes frayeurs. Dim 20 Avr - 5:38 | |
| Je viens t'informer qu'un autre membre a tente tobias Le règlement dis que c'est le premier à avoir terminé sa fiche qui obtiens l'avatar donc je vous laisse voir ça entre vous et si besoin on est là EDIT: le membre qui jouait aussi Tobias a décidé de changer de vava donc il est tout à toi |
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| Sujet: Re: Sandro - Overdose de douceur. Pyromane de ton cœur. Canadair de tes frayeurs. Dim 20 Avr - 6:30 | |
| Haan. Bah... Parfait dans ce cas. & merci à l'autre membre (: |
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| Sujet: Re: Sandro - Overdose de douceur. Pyromane de ton cœur. Canadair de tes frayeurs. Dim 20 Avr - 7:12 | |
| Tout est bon pour moi ! Quelle histoire OO Tu es validé beau gosse !
Tu es validé(e) bienvenue parmi nous petit fou! ça y est! tu as enfin passé l'épreuve redoutable de la validation: bravo! bienvenue parmi nous! maintenant, tu vas être réparti(e) dans ton groupe et tu vas pouvoir poster dans le reste du forum! n'oublies pas de vérifier que ton avatar a bien été ajouté au bottin, car nous ne sommes pas à l'abri d'un oubli..! n'oublie pas non plus de venir te trouver une maison et recenser ton métier ! ensuite, tu peux venir créer ton ou tes scénario ou tes liens recherchés pour agrandir ton cercle d'ami! tu peux aussi venir créer ta fiche de liens et de rp pour qu'on puisse tous se trouver des liens de fifous ! et tu peux évidemment flooder, jouer.! bon jeu et si tu as la moindre question, le staff est là pou rtoi
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| Sujet: Re: Sandro - Overdose de douceur. Pyromane de ton cœur. Canadair de tes frayeurs. | |
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| | | | Sandro - Overdose de douceur. Pyromane de ton cœur. Canadair de tes frayeurs. | |
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